Si la semaine dernière l’affluence n’était pas grande, ce mardi 08 décembre 2020, les salles de classe sont bourrées d’élèves. C’est le cas du lycée Léopold sedar senghor de Yimbaya dans la commune de Matoto a constaté louvision.net
Contrairement à la semaine dernière, les cours ont bien repris dans certaines écoles publiques de la capitale guinéenne. C’est le cas du lycée Léopold sedar senghor de Yimbaya dans la commune de Matoto que nous avons visité ce matin. Là-bas, la présence massive des élèves et enseignants est visible. AMARA Balato Keita est proviseur.
«j’avoue que les élèves sont venus nombreux à l’école cette deuxième semaine et c’est comme ça progressivement que l’école sera remplie d’élèves.par ce que si les gens traînent c’est quoi , c’est les moyens qu’il faut mettre à la disposition des enfants pour qu’ils soient dans les normes pour reprendre les cours, je parle de tenue et fournitures scolaires.»
Trouver en situation de classe avec les élèves, AMARA Sidibe, professeur chargé des cours d’économie de ladite école, a emboîté les pas de son prédécesseur. Plus loin, il affirme tout de même que le respect des mesures barrières est ignoré par certains élèves et enseignants.
« la semaine qui a démarré hier lundi,connaît une présence des élèves. Au jour d’aujourd’hui,il y’a des classes déjà sont remplis où les élèves ont du mal à s’asseoir par manque de place. Concernant le respect des mesures barrières, certains élèves portent, mais par contre d’autres ne portent pas même certains enseignants ignorent les mesures.»
pour cet élève interrogé, les enseignants qui sont censés de leurs donner du savoir ne sont pas à la hauteur. Mory Diawara.
« le déroulement des cours est bien, mais certains professeurs n’ont pas la compétence de nous donner les bons cours qu’il faut. Par exemple, d’autres enseignants qui étaient là l’année dernière et qui étaient bien, cette année ont leurs vois pas. Les nouveaux professeurs qui sont là ne nous convient pas.»
C’est partir pour l’année scolaire session 2020-2021. Espérons, qu’elle ne connaîtra pas de perturbations.
Fanta Kaba